Bienvenue sur le village des oubliés

Bonjour à toutes et à tous. Le village pour les oubliés est ma décision de créer un refuge d’un autre genre, loin du principe de ces chiens placés dans des espaces de quelques mètres carrés au milieu de dizaines, voir de centaines d’autres. L’abandon est une souffrance réelle pour l’animal, l’enfermement une torture mentale. Rien n’a vraiment changé depuis des dizaines d’années et la situation est catastrophique dans certains pays. Il est temps de changer les choses.

Un village pour les oubliés

Mon objectif est de créé un réel village, composé de petits chalets, où les chiens pourront avoir leur chez eux, où ils pourront être libre et se reconstruire sereinement, le tout accompagné par un éducateur comportementaliste. Le village sera séparé en deux parties : Une première pour les chiens sociables et une seconde pour les chiens qui nécessitent à réapprendre à vivre où qui termineront leur vie sur place.

Le village sera un lieu accessible aux bénévoles, mais aussi aux adoptants. Vous serez accompagnés par une personne expérimentée, et vous pourrez ainsi découvrir les chiens tels qu’ils sont, dans un environnement où chacun pourra exprimer sa personnalité et non ses souffrances.

Il est grand temps de rendre à ces êtres la place qu’ils méritent : Ils sont capable de ressentir la peur, la souffrance, l’abandon, mais aussi la joie, la paix et la bonté. Il n’y a pas plus fidèle qu’un chien, c’est un être qui vous aime plus que lui-même, il ne vous ment pas, il ne vous trahit pas, il vous aime tel que vous êtes.

Il possède la beauté sans la vanité, la force sans l’insolence, le courage sans la férocité et toutes les vertus de l’homme sans ses vices. (Gordon Byron)

Ce village, c’est l’aboutissement de plus de 15 ans de vie que je consacre aux chiens et chats. Au fil des articles, vous pourrez découvrir que je sais exactement de quoi je parle, je vis avec une meute de chiens, tous sauvés, et j’ai eu l’occasion de réhabiliter plusieurs chiens avec l’aide d’un chalet. Tout cela m’a mené à l’envie de bousculer ce qu’on connait et à changer la manière d’agir.

Comment y arriver ?

L’argent gouverne le monde, tout le monde le sait, et je ne pourrai rien faire sans votre aide. Il ne faut rien attendre de nos gouvernements, si on veut faire changer les choses, nous devons nous y mettre ensemble. Afin de pérenniser ce village, le mieux sera une rentrée financière fixe et durable. C’est pour cela que je vous incite à faire un petit don mensuel, un simple euro suffit. Si on le multiplie par des dizaines de milliers de personnes, ensemble nous pourront changer l’avenir de ces chiens.

Afin de vous offrir un maximum de possibilité, j’ai mis en place une page où vous pouvez décider de la manière que vous souhaitez m’aider à réaliser ce village. Et via ce site, ou sa page Facebook, vous pourrez suivre l’évolution de ce que votre contribution apporte.

Une arnaque ?

Je suis à la fois triste et fâché de devoir écrire cette partie du message, mais je sais pertinemment bien que très rapidement, des gens vont crier à l’arnaque. Alors, avant d’en arriver là, je souhaite mettre les choses au clair une bonne fois. Le village des oubliés est un projet de l’association belge l’ASBL les quatre pattes en détresse. Cette association est officiellement reconnue sous le numéro 0804503152.

J’ai un numéro de TVA, un compte banque professionnel, un compte PayPal professionnel, nous sommes inscrits sur Stripe, nous avons eu le soutien du SPW de Wallonie quand à la reconnaissance de mon travail. Le bien-être animal nous a donné une note positive quand à la tenue de nos chiens et chats.

La création du village sera faite avec l’aide d’un architecte, qui s’occupera lui-même d’obtenir notre agréement refuge. Dans la prochaine nouvelle, je vais me présenter, vous saurez ainsi qui je suis et pourquoi je fais cela. Si vous souhaitez me parler au téléphone, il vous suffit de me contacter.

Je ne cherche pas à m’enrichir, j’ai décidé depuis déjà de nombreuses années de consacrer le restant de ma vie aux animaux, et je n’arrêterai pas tant que mes forces me le permettront.